jeudi 18 juin 2015

Tendres nouvelles "Eugénie, reste encore un peu!"

Voici, la suite...non. Voici l'actualité... non.
Vous attendiez la suite de ma nouvelle Hopper, ben non pas encore.
Vous attendiez l'actualité de mon refuge LPO, ben non pas tout de suite.
C'est une tendre nouvelle qui me tenait à coeur, une nouvelle fantastico-réaliste.
La voici...à lire sans modération.

Eugénie, reste encore un peu !


Eugénie vient de se réveiller. Elle a les yeux grands ouverts ; comme d’autres les ont fixés sur le bleu du ciel ou de la mer, elle, c’est sur le vert du plafond. Elle ne l’a pas choisi. Même s’il est doux, couleur de l’amande, elle n’aime pas le vert et cela ne date pas d’aujourd’hui. Car Eugénie, c’est une vieille comme disent les jeunes.

samedi 7 mars 2015

Nouvelle Hopper "Eté" (IV)

Je ne vous retiens pas davantage et vous livre une suite plus épineuse que la précédente. Cette dernière était plutôt une présentation de ce qui allait suivre...

Bonne lecture...

samedi 28 février 2015

Nouvelle Hopper "Eté" (III)

Après un hiver de marmotte, un travail prenant mais qui n'amène que peu de satisfactions - juste quelques unes qui sont très wouaw mais créées de toute pièce, un brin en marge et qui demandent beaucoup d'énergie - un peu reposée, me voilà de retour sur le blog avec la suite tant attendue de la nouvelle Hopper intitulée "Eté".

Rappelez-vous, Paola et Federico, deux enfants de la mafia tombent amoureux. De cette liaison s'en suivra un mariage précipité (les règles n'ayant pas été respectées) et naitra un fils Gino au destin d'un chef de clan. Vous me direz, rien d'exceptionnel jusque là, mais la vie mafieuse n'est pas de tout repos et perturbe quelque peu le sommeil de Paola et cela ne va pas s'arranger...

La suite...

dimanche 25 janvier 2015

Randonnée dans les gorges de la Jonte et du Tarn

Une journée « wouaw ! ».


Après une préparation minutieuse, c’est qu’une journée comme celle-là ne s’improvise pas, nous quittâmes le joli petit village du Rozier.


Le sentier abrupt parsemé de cailloux calcaires, serpentait vers la corniche. Le soleil d’octobre nous chauffait doucement l’échine que nous avions courbée. Les sacs à dos gonflés par les sandwichs et les appareils photos nous tiraient irrémédiablement vers la descente, comme s’ils refusaient de nous suivre. De temps en temps nous soufflions en nous retournant pour admirer un paysage qui se cachait de nous et grandissait au fur et à mesure que nous grimpions. Lumière rasante et premières couleurs automnales prenaient part à la magie du lieu.